En fuite

Les rayons du soleil perçait avec difficulté au travers des éppais nuages. Un vent violant et froid soufflait un air féroce sur la plaine nue. Voila bien des jours que Catherina chevauchait sans relache au travers du Gondor et avait finalement atteind le Rohan sans même s'en être rendue compte. Ses vivres n'était plus, ses vêtements et sa coiffures laborieuses mais elle s'en fichait car elle était libre ! Elle ne sentait plus cette atmosphère oppressive qui fait du Mordor un lieu repppoussant. Rarement auparavant elle n'était allé aussi loin, habituellement elle se fait rattrappé aux alentours des fleuves du Gondor.

Sa jument d'un noir égale à la nuit sans lune marchait épuisé, le poitrail écumant de sueur. Cepandant elle était une monture faite pour l'endurence, de la même famille que ceux des nciens Nazgul et elle pouvait galoper pendant plusieurs jours sans se fatigué. Cette fois-ci c'était plus que plusieurs jours ... Elles c'étaient rarement arrêté. Catherina manquait de sommeil, déshydraté, elle n'avait plus cett même élégance. Elle se retourna et ne vit rien sur la plaine, le néant.

-Faisons une pause ma belle ...-

Elle descendit de son dos et marchèrent jusqu'à un ruisseau pour boire. La jument ne refusa pas cette eau fraîche et Cath était du même avis. Elle se nettoya un peu le visage aussi et s'assit sur un rocher, le visage enfuie dans ses paumes. Elle s'endormis d'un someil trop léger mais un minimum reposant. Elle n'entendit pas arriver le groupe des trois orcs qui la traquait depuis le commencement.

-Enfin te voila !- gronda l'un d'eux qui semblait être le chef.

Les deux autre saisirent Cath qui se débattit frénétiquement, et sa monture qui se cabra furieux et dangereusement.

-Lachez-moi !!!-

Catherina se débttit encore et encore mais cette fois il semblait qu'elle avait perdue. C'est alors qu'ils furent surpris par un cavalier inconnue qui commença par décapiter Nargrim, le chef des trois. Catherina hurla d'horreur mais les deux autres n'eurent pas le temps de riposter. La femme tomba à genoux en hurlant de terreur, cachant son visage dans ses poignet pour ne pas les voir. Qu'elle vision atroce, ce sang, ces mort. Mais pourquoi il telle crise pour de stupides Orcs ? Catherina n'a jamais tuer malgré son entrainement.

Quand Eomer s'approcha et sortit son visage qu'elle avait caché. Les larmes roulait sur ses joues pâles, elle hurla.

-Comment avez-vous put tuer Nargrim !!! Vous êtes un psycopathe ou quoi ? -

Mais la colère lui fit perdre ses mots. La scène était incrédule, comment une femme humain pouvait pleurer un orc !

Et oui, c'était dur à comprendre mais Catherina avait été contraint de vivre parmis les Orcs au Mordor et naturellement, elle c'était attaché à certains et connaissait la plupart des officier. Même si elle ne les aimait pas tous spécialement, elle les respactait toujours. Nargrim n'était pas cher à son coeur mais elle entretenait non pas une amitier mais une sorte de simpathie pour lui. A chaque fois qu'elle s'évadait du Mordor, c'est lui qui la poursuivait
Toujours pleine de fureur, elle hurla

-Lachez oui mais je n'ai jamais demandé à les tuer !-

Les larmes coulaient toujours mais elle osait à peine regarder les corps des orcs dont un peu de sang avait giclé sur son visage blanc. Cepandant elle se reprit. Elle essuya ses larmes et leva ses yeux humide vers l'homme qui l'avait libéré. Elle réagit à quel point elle était injuste finalement. Après tout, les orcs leur avaient causé beaucoup de peine et son seul but avait été de la sauvé.

-Je ... je suis désolé...-

Catherina était de nature discrète, presque soumise. A vrai dire, elle n'a jamais eu le droit de faire des choix dans sa vie et à présent qu'elle était vraiment libre, elle s'en voulait de ne pas l'avoir remercié.

-Merci ...-

Elle passa à nouveau ses main sur son visage pour l'essuyer. Sa jument d'ébène, s'approcha de sa cavalière et souffla un air chaud sur son visage. Celle-ci posa une main sur sa joue, la regarda et lui embrassa entre les naseaux. Brave jument, soeur des montures maudites des Nazgul. Catherina se releva maladroitement à cause de la fatigue et prit appuie sur sa monture pour se tenir

-Moi c'est Catherina ...-

Elle n'allait quand même pas lui avouer être la soeur du roi fou et ténébreux du Mordor, se serait aller droit au suicide. Non elle préférrait mentir mais pas trop quand même. Il est un seigneur puissant sur ses terres alors autant bénéficier de sa protection

-J'étais servante du Mordor mais ... je me suis enfuit. Nous galopons depuis plusieurs semaines c'est vrai... -

Elle marqua une pause. On lui offrait protection mais elle ne savait si accepté serait correcte, elle était gêné comme avec la plupart des hommes, enfin, surtout depuis que son frère la cloitre au Mordor.

-Je ne sais pas se qu'est Edoras mais ... maintenant que nous ne sommes plus poursuivis, je crois que ma belle (elle tapote sa jument) apprécirait le repos. Enfin je ne sais pas....-

Il est vrai que se laver et manger serait mieux pour elle car elle était faible. Ce n'était pas le moment de faire des manières. Elle restait cepandant sur ses guarde par rapport à l'évènement précédent. Finalement elle se seentait coupable de la mort des Orcs, elle ne pouvait rejeter la faute sur Eomer.

-Je ... j'accepte ...-

[C'est juste parsque j'étais inspiré ^^]

L'homme ne semblait pas lui vouloir de mal, au contraire se qui la mit plus en confiance. Elle n'avait que très vaguement entendus parler du Rohan mais ne savait même pas qu'elle y était entrée. Elle a donc réussieà traverser le Gondor, et a dire vraie, s'étonne d'être arrivée aussi loin durant sa fuite. Avec un tel épuisement, il était vraiment temps qu'elle s'arrête. La cité n'étant pas très loin, elle n'avait plus qu'une envie c'est de l'atteindre le plus vite possible.

-Je ne savais pas que j'avais atteind le Rohan ...-

Puis il lui explica les tragédies qui touchèrent les familles. Elle comprenait parfaitement cette réticence, elle aussi a connue cela. Pire encore, les Orcs qui tuèrent sa famille était guidé par son frère Will. Mais pour l'instant il était préférable de ne pas parler de ce lien de parenté et de rester sur se qu'elle avait dit.

-Ou...Oui je comprend tout à fait. Après cette guerre, c'est très compréhensible, je ... je ne serais qu'une femme qui cherche l'hospitalité-

Elle posa son regard dans le sien et esseya d'avoir un sourire naturel malgré le fait qu'elle soit nerveuse et un peu inquiète. en faite, se qui l'inquiète le plus, c'est la réaction de son frère. Elle posa la main sur l'encolure de sa jument qu'elle flatta avec douceur. La bête épuisée mais encore vaillante souffla chaudement et avec douceur. Son autre main était aggripée à la crinière pour n'être désttabiliser. Oui elle aurait bien besoin d'aide pour monter mais hésita tout de même.

-Je .... je crois qu'un peu d'aide ne serait pas de refus ...-

Il est vrai que s'enfuir du Mordor ainsi qu'à la surveillance de son fou de frère était un acte des plus difficile. Mais échapper au Orcs qui la cherchait était encore plus dur. Elle souffrait de la mort de ceux-ci mais quelques part, c'était un nouveau chemin qui s'ouvrait pour elle, une nouvelle vie qui l'attendait, enfin elle éspérait.Cette nouvelle perspective l'effreyait mais en même temps était très excitant. Elle allait de l'avant et enfin était libéré de cette atmosphère oppréssente du Mordor.

-Merci ...-

Le "compliment" lui allègea le coeur, cette fois-ci le sourire vint de lui même. Elle coiffa une de ses mêche rousse derrière son oreille et se laissa aider à monter. Les pied dans les étrier, elle était quand même voutée au dessus du pommeau, fatiguée. Sa jument sécoua l'encolure et brouta un peu d'herbe. Catherina regarda Eomer, le même sourire étiré sur ses visage fin.

-Merci encore ...-

La jument souffla et releva la tête en sentant la main de l'homme lui flatter l'encolure. Quand l'étalon gris pommelé commença à avancer, la jument fit de même sous la pression de la jambe de sa cavalière. A présent la route serait plus tranquil, il ni a plus la même pression. Cette dernière ligne droite ressemblera à une ballade en forêt à comparé à se qu'elle ont vécues durant ces semaines.

La jument ne put faire qu'un petit galop, parfois maladroit mais elle tenait bon. Elle était dressée à parcourir de longues routes pendant plusieurs jours et selon une cadence régulière, même dans la nuit. Catherina était épuisée mais se forçait à se tenir droite tout de même. Rapidement ils arriveraient à la cité.

-Vous avez été bon avec moi, comment pourrais-je vous remercier ?-

[Pas grave ]

Catherina suiva silencieusement l'homme, s'afforçant de rester éveillé tandis qu'elle sentait les sa jument lever les jambes avec douleur. Ils traversèrent la plaine jusqu'à la cité. Elle ne ressemblait en rien aux bâtiment du Mordor. L'air était frais, pur tandis qu'il était pourris et insuportable au Mordor. Voir une vraie cité avec de vraie personne était presque une éxpérience nouvelle pour elle. Elle avait vécue isolée pendant des années et des années, séquéstrée par son frère. Elle ne cacah pas sa fascination en avançant au travers des gens qui s'activaient. Toutes ces familles, les enfants qui jouent ou aident leur parents, ils semblaient tous heureux. C'était une superbe vision pour elle.

Elle voulut s'occuper de sa jument mais avec la fatigue, il lui serait impossible de s'occuper d'elle correctement. Elle le suivit donc vers la chambre qui lui était gracieusement offerte. Avant qu'il sorte, elle se tourna vers Eomer, coiffa à nouveau sa mêche rousse derrière l'oreille et lui sourit.

-Vous allez trouver que je me répète ... mais merci beaucoup ...pour tout...-

Quand il ferma la porte, elle explora du regard la pièce. La première chose qu'elle fit fut d'entrer dans la salle d'eau pour se laver tout le corps. Elle se lava longuement et avec précision afin que sa peau retrouve son éclat blanc et ses cheveux mouillés leur belle rousseur.

Quand elle eut finit, elle retourna dans la chambre et se laissa tomber sur le lit et s'endormit presque aussitôt. Elle dormit longtemps.. Plusieurs heures plus tard, elle rouvrit les yeux. Le repas était posé sur une table à côté du lit. Elle prit le plateau et saisit le quignon de pain. Elle jugea qu'on pouvait se passer de courtoisie et macha dedans. Cela faisait plusieurs qu'elle n'avait rien mangé de vraiment consistant. Ce pain était une bénédiction.

Mais combien de temps allait durer ce bonheur ?