Retour du Rohan

Un homme aux habits sombres et sales, tenant par la bride un magnifique étalon aux allures nobles, avancait dans les ruelles étroites de la Cité Blanche. Le bas de la Citadelle, là où étaient les gens du Peuple que l'on pourrait considérer à un rang plus faible que les chevaliers : les paysans, fermiers, artisans... Le Peuple en général. Là aussi où il y avait de nombreuses habitations.

Ces gens-là voyaient rarement le roi du Gondor. Et ils n'étaient guère capables de le reconnaitre lorsqu'il n'avait pas son armure et sa couronne.
Aragorn passait donc incognito. Dans cet accoutrement noir de rôdeur, il était un parfait anonyme. Les gens ne le regardaient même pas passer. Sauf parfois les enfants qui observaient le cheval Arod, sans oser toutefois s'en approcher.

Aragorn marchait d'un pas fluide et léger. Sa capuche noire recouvrait son regard azul. Son épée et ses autres armes étaient recuvertes par sa cape. Sur son dos, il portait les affaires qui lui étaient utiles pour voyager.
Arod portait le reste, bien que léger, accroché sur sa selle.

Grand-Pas connaissait bien cette ville, son royaume. Il posait ses yeux profonds, cachés, sur les maisons et personnes qui l'entouraient. Tous s'affaissaient à leur travail. Comme toujours, Minas Tirith était en pleine effervescence. Une grande ville.
De plus, c'était le jour du marché. Il y avait donc plus de gardes qu'à l'habitude dans les coins de rue. Certains regardaient Aragorn d'un air louche. Si ils savaient qui il était, ils auraient un tout autre regard ! Mais, le Roi était aussi bien en anonyme pour le moment. Il n'aimait pas vraiment la foule.
Après avoir passé des années soit seul, soit en mettant ses compagnons dans le mensonge de son identité, il avait fini par prendre goût à la solitude. Il en avait l'habitude. C'était dans sa nature.
Il était heureux d'être roi, mais il aimait aussi partir seul dans une petite escapade. Et ça, il l'avait clairement annoncé à ses collègues le jour où il avait été couronné.

C'était d'ailleurs d'une de ces petites escapades qu'il revenait. Pas très loin, au Rohan. Il avait rencontré son homologue Rohirrim : Eomer. Tous deux avaient été attaqué par un bataillon d'orques. Heureusement, ils les avaient tué. Mais, il pourrait y en avoir d'autre. Aragorn devait donc prévenir ses gardes afin qu'ils augmentent les patrouilles.

Si personne ne reconaissait le roi, comment Drathir aurait pu faire mieux ? La jeune femme se montrait très méfiante ces jours ci. Enfin surtout depuis ce matin ou durant une ballade a cheval elle s'était fait attaquer par deux orques. Facile pour la jeune femme mais elle s'était promit de voir son roi pour le prévenir. Bref, méfiante elle avait pris l'initiative de patrouiller dehors, et puis ça lui changerais surement les idées. Alors qu'elle se diriger dans es écuries, elle se demanda si sa tenu n'était pas trop légère. Une simple protection de cuir qui caché une cote de maille. Bah ça devrait aller et puis elle ne partirait pas longtemps ! et elle detestait portait une grosse armure, un minimum de féminintée ! Bref ... elle se diriger donc vers les écuries quand l'allure fière d'Arod l'arreta. C'était un cheval magnifique ... elle jetta un coup d'oeil au cavalier, un rodeur ? Du moins il en avait l'air ... N'ayant pas reconnut son roi, elle se dirigea vers Aragorn et déclara un sourire aux lèvres.

- C'est un cheval magnifique ... Ou l'avait vous eu ? -

Drathir savait que d'aussi beau chevaux était rare au Gondor, venait t'il du Rohan ? Impossible a savoir tant qu'Aragorn n'aura pas répondu. la jeune femme fixait sans sciler l'inconnu, sa main qui tapoter machinalement sa dague. nan elle allait pas faire un asasinat ! C'était juste un reflexe ... Puis la jeune femme fixa la lune en silence, son regard ambré posé sur la sphère argentée. Retenant un soupir, son regard dévia de nouveau sur son roi qu'elle n'avait toujours pas reconnut. mais un coup de vent fit virvolter la cape et elle perçut alors l'épée du rodeur, un froncement de sourcil indiscret suffit a faire comprendre son questionnement. cette épée ressemblait tant a celle du roi, brillante et longue pour une épée. Elle était facilement reconaissable. Elle demanda alors

- Qui etes vous ? -

Cette fois la main de la jeune femme se referma fermement sur le pommeau de son épée. Un inconnu armé, avec une épée semblable a celle de leur seigneur. A moins que se ne soit Aragorn lui même, la jeune femme se méfier.

Aragorn continuait sa route, le pas tranquille. Arod le suivait sans qu'il n'ait besoin de tirer sur la longe. Non, sa bride était juste une précaution. Certains au Gondor avaient peur des chevaux. Ici, ils étaient souvent moins bien dressé qu'au Rohan et pouvaient se montrer dangereux.

Sur le chemin des écuries, une jeune femme l'interrompit. Une femme plutôt bien habillée. Elle semblait porter une cotte de maille, et avait également des protections en cuir. Aragorn, lui, n'avait mis qu'une fine cotte sous son manteau noir, ainsi que deux protections au niveau des bras, portant l'insigne du Gondor : l'Arbre Blanc du Roi.
Cette jeune fille était plutôt jolie, grande, cheveux brillants, l'oeil vif Elle avait tout du Gondorien. Et son équipement montrait d'ailleurs qu'elle en était un.
Un chevalier ? Après la bataille devant la Cité Blanche, après avoir vu combattre Eowyn, Aragorn avait fini par accepter que certaines femmes soient engagés dans l'armée. Celle-ci serait-elle l'une des rares privilégiés ? Elle avait dans tous les cas une allure noble.

Aragorn la salua d'un mouvement du menton, accompagné d'un sourire mystérieux. Son regard restait caché par son capuchon.

- Je te remercie pour lui... -

Le Roi tapota l'encolure d'Arod, qui frotta sa tête contre l'épaule de son cavalier.
Le rôdeur continua sur le même ton de sérénité :

- Il vient du Rohan. -

Alors qu'Aragorn reposait son regard sur la jeune femme, un coup de vent souleva un pan de sa cape. Le brillant pommeau d'Andùril brilla d'une lueur de glace, comme toujours lorsque l'épée apparaissait à la lueur de la lune. Mais, bien vite, le manteau noir la recouvrit de nouveau.
La clarté de l'astre céleste éclaira un oeil d'Aragorn. Son iris bleu brillait de profondeur.
Il vit le mouvement rapide de la jeune femme, lorsqu'elle posa sa main sur sa dague. Par réflexe, le rôdeur fit de même avec sa dague elfique, qui lui avait été donné par la Dame Galadriel. Discrètement, sa main caché par la cape bien que ceux qui s'y connaissent puissent discerner son geste.

Ses réflexes de rôdeur demeuraient encore en lui. Il n'avait normalement pas grand chose à craindre des Gondorien. Mais après tout... Être le roi ne l'empêchait pas de mourir normalement lors d'une blessure. Il devait donc se montrer prudent.
Sans savoir pourquoi, Aragorn décida de ne pas donner son vrai nom. Peut-être pour rester tranquille encore quelques temps avant de rejoindre son Palais ? Il répondit donc d'une voix discrète, presque par habitude, ce nom qui lui avait été donné lorsqu'il rôdait :

- Grand-Pas... Et vous, qui êtes vous ? -

Machinalement, Aragorn passa la main qui ne tenait pas la dague sur sa capuche, la relevant, dégageant ainsi son visage. Il avait des mèches noires devant les yeux, des yeux d'un bleu, gris profond. Un léger sourire sur les lèvres.

La jeune femme aquisisia en apprenant que le cheval venait du Rohan. C'était plutôt normal ... Bref .. puis l’inconnu lui donna son nom « Grand Pas ». La jeune femme sembla réfléchir quelque instant. C ‘était un surnom qui ne lui disait rien … elle haussa les épaules, bah il avait a peu près répondu. Elle se détendit après hésitation, relâchant la pression sur le pommeau de sa dague. Puis elle posa une dernière question, malgré tout méfiante envers cet homme qui lui était inconnu mais ses doutes étaient toujours présent, surtout quand Grand Pas montra alors son visage. Elle reconnaissait ses traits, ceux du roi ! Trop de coeicidences … mais bon si il s’agissait vraiment de son roi, il avait ses raisons de se cacher. D’un simple regard elle fit comprendre qu’elle avait deviner qui il était vraiment mais elle joua le jeu.

- Eh bien enchanté Grand Pas … Je suis Drathir, chevalier du Gondor. –

Un mince sourire aux lèvres, on lisait de la fierté dans ses yeux. Elle était une des rares femmes qui avait ce privilège et elle en était fière, il lui avait fallut beaucoup d’entraînement et bien qu’elle restait modeste, elle avait de quoi être fière d’elle. Puis elle demanda alors, avant de proposer.

- Et vous d’ou venez vous ? Etes vous un de ces rôdeurs ? Et si vous voulez je peux vous montre les écuries pour votre cheval, si vous ne connaissez pas les environs et si vous le voulez bien sur. –

Drathir esquissa un sourire avant de flatter l’encolure de l’étalon baie brun, il était vraiment magnifique ! Mais bien sur elle était également très fière de sa propre jument, Alda.

Aragorn croisa le regard ambré de la jeune femme. Celle-ci sembla l'avoir reconnu. Peut-être avait-elle encore des doutes... Mais, elle commencait à comprendre. Le roi connaissait ce regard.

Puis ce fut à son tour de se présenter. Drathir, chevalier du Gondor. Il avait donc vu juste. Elle avait dû se battre pour avoir ce poste enviée par de nombreuses femmes. Et Aragorn savait que si elle avait ce rang, c'était qu'elle le méritait.
Grand-Pas inclina légèrement la tête, de nouveau, tout en lâchant sa dague.

- Enchanté Drathir. -

Aragorn imita son sourire.
Il écouta attentivement la dernière question et décida d'y répondre avec honnêteté. Il n'avait aucune raison de cacher cela.

- Exact, je suis un rôdeur, venant du Nord. -

Aragorn sourit de nouveau suite à la proposition de la jeune femme. Sa compagnie était agréable. Elle ne semblait pas lui en vouloir de s'être nommé sous le nom de Grand-Pas, et n'insistait pas.
Rares étaient les personnes si peu embarrassantes.

- Je connais assez bien ces lieux... Mais ce serait avec plaisir que je me promenerais avec vous. -

Le roi était plutôt fatigué. Ce voyage au Rohan, ce combat avec les orques, sa blessure à la cuisse... Mais il avait l'habitude de rester éveiller durant des jours.
Et il venait de rencontrer l'un de ses nouveaux chevaliers. Ils allaient sortir l'épée ensemble. Alors autant faire connaissance tranquillement, en paix.
C'était le meilleur moyen. Et Aragorn voulait aussi prendre un peu de bon temps. Le moment de se faire des nouveaux amis dans son Peuple, au Gondor.

Drathir esquisisa un sourire, un rodeur venant du Nord ? Elle avait appris que Aragorn avait longtemps errer avant de prendre le trone qui lui revenait de doirt mais désormais il était roi, un bon roi qui s'occupait bien de son peuple. Et c'était bien mieux que la presque dictature de l'ancien intendant du gondor. Un sourire se dessina sur le visage de la jeune femme lorsque le roi accepta sa proposition. Commençant a marcher tranquillement a ses cotés, elle continuer de jouer le jeu, faisant comme si elle n'avait toujours pas reconnut son roi. C'était un jeu ammusant, comme si elle faisait une nouvelle rencontre alors qu'en faites elle le conaissait déja un peu. et puis ça lui permettait de mieux connaitre son seigneur !

bref ... la jeune femme se diriger vers les écuries, Arod semblait épuiser,il avait dut faire un long cheval. il venait du Rohan, peut etre venait t'il juste d'etre emmener au Gondor ... drathir oublia bien vite cette suposition, l'étalon semblait déja familier avec les lieux et la foule ne lui faisait pas peur. La jeune femme continuer de marcher aux cotés de son seigneur, c'était ammusant de la voir marcher ainsi avec son roi, comme si ils étaient de vrais amis. mas après tout ils tireraient l'épée ensemble ! Autan connaitre ses alliées ... bref Drathir demanda alors, laissant sa curiositée s'éveiller.

- Et vous revenez d'un long voyage ? Votre cheval semble épuisé ... -

Aragorn suivit la jeune femme. Ils avancaient lentement, se dirigeant vers les écuries du Gondor.
Arod suivait tranquillement derrière son cavalier, la longe détendu.
Le roi se retourna quelques secondes, le temps de prendre quelques affaires accrochés sur la selle de son cheval. Il mit son arc en bandouillère sur son dos, ainsi que quelques ustenciles utiles, puis se remit à marcher au côté de Drathir.

C'était assez étrange. Car elle savait qui il était. Et lui savait qu'elle savait qu'il était Aragorn. Et elle, elle savait qu'il savait qu'elle savait. De quoi donner la migraine !
Ce petit jeu était plutôt amusant. Ou ironique. Au moins, Elessar était tranquille, il ne voulait pas que tous viennent le saluer et clamer le retour du roi. Il aimait les louanges, mais jusqu'à une certaine limite.

A la question de Drathir, Grand-Pas hocha la tête en signe d'affirmation.

- Nous avons fait un aller-retour d'Edoras. Mais en chemin, un groupe d'Orques a entravé notre route. -

Comme si Arod suivait la conversation, il ébroua sa longue crinière noire. Aragorn posa sa main sur la tâche de son museau tout en continuant d'avancer.
Il rajouta plus pour lui-même que pour Drathir :

- Il va falloir se montrer plus prudent à l'avenir... -

Aragorn releva la tête et posa de nouveau son regard dans celui du chevalier.

- Alors ainsi, vous avez réussi à entrer dans la chevalerie du Gondor ? Je vous félicite. Ce n'est pas facile. -

La jeune femme écouta son roi sans un mot. Edoras ? Que faisait t'il si loin de la cité ? C'était a plus de 3 jours de marche, efin a vol de nazgul. Mais bon la jeune femme ne posa aucune question, c'était un voyage long et les raisons de son voyage était propre a aragorn, elle n'avait pas a s'en meler. Puis il parla d'un groupe d'orque. Drathir eutun froncement de fourcil avant de déclarer a son tour d'une voix calme mais grave.

- Ce matin je me suis ballader en restant sur les terres du Gondor. Je suis tombé sur deux orques je m'était promitd'en parler au roi. C'est étrange, les orques se risque très rarement au soleil, encore moins lorsqu'ils ne sont que deux ! Desespoirs ou ruse, impossible a savoir ... -

La jeune femme haussa les épaules. Elle esperait juste que ces temps de guerres ne recommençerait pas, et elle esperait surtout que leurs plus grand ennemis soit définitivement mort ... au risque d'avoir de gros problèmes ! Bref... Ils arrivèrent enfin aux écuries et elle flatta alors l'encolure de la jument, qui se trouvat au box voisin d'Arod, drathir caresait le front de sa belle jument alezane, murmurant le nom de celle ci en guise de bonsoir.

- Alda ... on sortira tout a l'heure promis ! -

un sourire puis la jeune femme se tourna vers le rôdeur, celui ci qui la féliciter d'avoir réussit a devenir chevalier. Elle se félicita de ne pas rougir devant ce compliment venant de son roi, un sourire remplie de fiertée aux lèvreselle répondit, modeste.

- Oh merci ... mais je me voyais mal rester tranquillement dans mon foyer. J'ai choisit une autre voix et j'ai travailer dur pour faire ce que je voulais. J'ai était récompensé et j'en suis heureuse -

Tout en parlant, elle flattait avec tendresse la jument alezane, lui murmurant quelques mots doux, affectueux ou moqueur. elle entretenait une vraie relation avec sa jument.

En quelques minutes, ils arrivèrent aux écuries Gondoriennes. Aragorn écouta Drathir en silence, et sans rien ajouter. Il y avait donc aussi eu des Orques ici... Il faudrait se méfier. Ils peuvent faire de gros dégats ces brutes épaisses !

Le roi lâcha son cheval dans un des nombreux box. Il le desharnacha et flatta son encolure, tout en le remerciant encore une fois pour son courage et sa servitude.
En face de son box, Drathir caressait une jument alezane. Très jolie, grande, les membres fins. Une belle monture sans aucun doute. Aragorn ne dit rien, mais il hocha la tête en regrdant la jument, esquissant un sourire qui signifiait qu'il était en admiration.

Grands-Pas sortit des écuries avec Drathir, écoutant sa réponse. Elle était modeste, c'était une bonne chose.
Le roi fit un sourire léger.

- C'est tout à votre honneur... -

Arrivé sur les pavés de la ruelle, Aragorn s'arrêta. Par habitude, il remit son capuchon noir par dessus son visage et ferma son manteau. Il tourna la tête vers Drathir et haussa un sourcil, bien qu'on ne puisse le voir.

- Alors ? Où souhaitez-vous aller ? -

Souvent, les rois préféraient rester dans les quartiers riches, bien famé, dans la luxure. Mais, Aragorn n'était roi que depuis peu... Il connaissait la misère.
Il avait longtemps été considéré comme un malfrat, ceux qui font qu'il y des quartiers mal famé. C'était ainsi la réputation des rôdeurs. Mais, si ces gens-là savaient que c'était grâce aux rôdeurs qu'ils vivaient tranquillement, sans attaque d'être infâmes... Ils étaient leur protecteur, mais on ne leur donnait que mépris. En même temps, ils ne faisaient rien pour que cela soit différent... Aragorn et ses compatriotes n'avaient que faire de cette réputation. Seul comptait de se battre contre le mal de ce monde.

Grand-Pas était donc prêt à aller là où la jeune femme souhaiterait aller. Que ce soit dans un pub, une auberge, un parc ou au marché. Se fondre dans la populas, c'est connaitre son peuple et ainsi pouvoir s'en occuper au mieux.
Il était noble, mais il avait aussi été pauvre.

La jeune femme flatta une dernière fois sa monture avant de suivre le rodeur dehors. Elle sourie légérement a sa première phrase et lorsqu'il demanda ou elle voulait aller elle sursauta. Eh bien elle n'y avait pas vraiment penser ! Et puis pas facile de trouver un endroit qui ne dérangerait pas son roi. Hein ? nan c'était pas son roi ! Enfin après tout elle n'en avait aucune preuve, c'était peut etre vraiment un simple rodeur. Drathir esquisisa un sourire, voulant saisir cette ocassion pour essayer de faire souffrire son seigneur . un sourire malicieux aux lèvres elle réfléchit quelques instant avant de déclarer.

- Eh bien pourquoi ne pas allez au marché ? je dois m'acheterdes fleches et puis si quelque chose vous tente .. -

La jeune femme esquisisa un sourire avant de commencer a marcher en direction du marché. En plus il y aurait un spectacle spécial après, Drathir était une des rares a etre au corant de cette surprise. Il s'agit en fait d'un spectacle de maronette, representant le roi et le peuple. incognito comme il était, c'était une façon de savoir ce que lepeuple penser de lui, et il ne serait pas déçu ! Bref ... la jeune femme marchait donc accompagner d'Aragorn, fixant les marchandises sur les étalages. Elle tomba alors sur un marchand qui vendait des fleches. Elle en saisit des differentes et les observa minutieusement, certaine était beaucoup plus travailler que d'autres, ça se voyait ! Elle acheta donc celles qu'elle juger meilleur, payant le marchand elle jetta un regard au rodeur. Silncieuse un homme lui donna alors un coup de coude en lachant sournoisement.

- Alors, comment vas ton père Drathir !

La jeune femme sursauta, un frison la parcourut, un frison nerveux, elle se retenait de le frapper. Un éclair rageux pasa dans son regard et elle se tourna vers l'homme en question, pointant une fleche près de sa gorge, menaçante.

- Continue Continue ... mais sache que le dernier souvenir que tu auras cette nuit se sera ma fleche qui se plantera dans ta gorge ! -

L'homme eut un leger frisson, ricana avant de partir. La main deDrathir qui teait la fleche retomba sans force. Elle se retourna et prit donc les fleches qu'elle avait acheter les glissant dans son carquois.

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